James Bond
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James Bond
1 373
pages

Le commandant Talbot est le capitaine du HMS Ranger, l'un des sous-marins balistiques britanniques à propulsion nucléaire de la classe Resolution[1]. Un homme d'une trentaine d'années, il est le fils du contre-amiral Talbot, un ami personnel de M[1].

Dans le film[]

En 1977, lors d'une patrouille en mer de Norvège, le HMS Ranger rencontre quelque chose d'étrange sous l'eau alors qu'il navigue à une profondeur de 500 pieds. Il fait surface pour voir la proue du Liparus, un énorme pétrolier secrètement utilisé par l'entrepreneur maritime et criminel Karl Stromberg et son armée personnelle pour chasser les sous-marins, qui s'ouvre et "avale" le Ranger. Talbot, ainsi que son équipage, restent prisonniers à bord du Liparus jusqu'à ce que l'agent du MI6 James Bond les libère. Le commandant dirige ensuite un raid sur l'armurerie du navire et donne des armes aux marins britanniques, américains et soviétiques récemment libérés. Au cours de la bataille pour le contrôle du navire, Talbot est tué par une grenade ennemie.

Production[]

Le commandant Talbot est un protagoniste de second plan dans le film de James Bond de 1977 L'espion qui m'aimait. Il a été interprété par le regretté acteur britannique Bryan Marshall.

Le personnage est également apparu dans l'adaptation en roman du film par le scénariste et écrivain Christopher Wood. Celle-ci le décrit comme "un homme d'une trentaine d'années, aux cheveux blonds et à la beauté typiquement anglaise". Contrairement au film, la capture de son navire n'est pas décrite et son déroulement exact reste un mystère. Le personnage n'est introduit qu'à bord du Lepadus (la désignation du Liparus dans le roman), après que lui et son équipage aient été sauvés de la captivité par 007. Contrairement au film, il survit à la première fusillade et c'est lui qui mène l'assaut futile contre la salle de contrôle sécurisée. Après que ses hommes aient été touchés par des tirs de mitrailleuses, Talbot charge mais est enflammé par des tirs de lance-flammes et s'effondre sur sa propre grenade[1].

Référence[]

  1. 1,0 1,1 et 1,2 Wood, Christopher (1977). James Bond, l'espion qui m'aimait. ISBN 2266006452
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