- Pour le personnage de On ne vit que deux fois, voir Helga Brandt.
Numéro 5 est le numéro de code d'un agent américain non identifié et membre du conseil d'administration de l'organisation criminelle secrète du SPECTRE, dirigée par le cerveau criminel Ernst Stavro Blofeld. Répondant directement du leader de la société, il semble être un homme efficace mais assez peu sûr de lui, surtout face à Blofeld, qu'il craint en raison de son habitude de punir par le meurtre ceux qui échouent dans leurs missions ou qui ne sont pas loyaux à leur cause.
Dans le film[]
En 1965, l'agent du SPECTRE Numéro 11 et l'un de ses collègues, Numéro 9, participent à une répartition de stupéfiants de la Chine rouge aux États-Unis. L'opération rapporte 2 300 000 $ mais cependant, Numéro 9 est secrètement coupable de détournements de fond. Plus tard, Numéro 11 comparaît avec d'autres agents à une réunion à Paris, en France, regroupant les membres les plus influents du SPECTRE. Étant le quatrième agent à faire son rapport, Numéro 11 rapporte ce que Numéro 9 et lui-même ont fait mais ne mentionne pas le détournement de son collègue (il n'en est peut-être pas au courant). Ernst Stavro Blofeld, cependant, déclare que l'espérance de l'organisation vis-à-vis de la somme recouvrée était plus supérieure que 2 300 000 $ et Numéro 11, visiblement nerveux, dit que les prix ont diminué à cause de la concurrence de l'Amérique latine. Cependant, Blofeld sait que l'un des agents est coupable de détournement et se prépare donc à exécuter le coupable par électrocution. Numéro 11 est alors inquiet de son sort mais c'est finalement Numéro 9 qui est tué, apparemment au grand soulagement de Numéro 11.
On ignore ce qu'il est advenu de Numéro 11 après cette réunion mais il semble qu'il ait quitté le SPECTRE entre 1965 et 1967 puisque plus tard, une jeune femme allemande nommée Helga Brandt porte ce numéro.
Production[]
Numéro 11 est considéré comme un antagoniste mineur dans le film de James Bond de 1965 Opération Tonnerre. Il a été interprété par l'acteur et scénariste canadien Murray Kash, qui a été doublé dans la version française par l'acteur Pierre Leproux.